@Vincent PONTET
La Cenerentola
Nous nous retrouvons jeudi 19 octobre au Théâtre des Champs Elysées à 19h30 pour (re)découvrir ce petit miracle de dramma giocoso qui combine en un tout harmonieux et virevoltant tous les éléments du mélodrame, du sérieux à la farce en passant par le larmoyant et le comique. Ce 20ème opéra, composé à 25 ans, sera l’un des plus grands succès du vivant de Gioachino Rossini (1792-1868), compositeur pressé, que Stendhal surnommera le Napoléon de la musique et dont Wagner dira qu’il « est à son temps ce que Palestrina, Bach et Mozart étaient aux leurs » (La Gazette d’Augsbourg 1868) !
I Né à Pesaro (Marches) un 29 février 1792, quatre ans avant la campagne d’Italie, Gioachino Rossini, fils unique d’un couple modeste qui chante et fait de la musique, se familiarise au lycée de Bologne avec Haydn et Mozart qui le marqueront, avant de connaître une « carrière » foudroyante à la suite du triomphe à Venise en 1810 de son premier ouvrage La Cambia del matrimonio. Il enchaîne dès lors, à toute allure, farces, opera buffa et opéras sérieux et devient du jour au lendemain le compositeur le plus célèbre d’Italie., lançant la Rossinimania.
A 23 ans, il est nommé directeur musical du San Carlo de Naples, la première scène lyrique de la péninsule, concentré de talents vocaux et instrumentaux. Il y composera neuf opéras sérieux tout en continuant à fournir des œuvres pour Rome, Venise ou Milan, dont le Barbier de Séville, la Cenerentola, la Pie voleuse !
A partir de 1823, il se lance sur les routes de l’Europe où il est demandé partout : Vienne, Paris, Londres, suscitant les manigances de ces deux capitales pour l’attirer.
Paris l’emporte et Rossini devient à 34 ans Premier compositeur du roi, associant ainsi son nom à la Restauration. Il concevra des ouvrages en français à partir de partitions italiennes (dont le Moïse et Pharaon repris au festival d’Aix en 2023) et une œuvre légère semi-originale Le Comte Ory avant, en 1829, Guillaume Tell, son chef d’œuvre dans le genre sérieux et le seul opéra entièrement nouveau écrit pour Paris. Ce sera le dernier de ses quarante opéras alors qu’il n’avait encore que 37 ans et qu’il lui en restait encore 39 à vivre…
Ne peut-il plus composer d’opéra ou n’en a-t-il plus besoin ? Est-il en phase avec le romantisme qui explose alors ? Est-ce dû, comme il le dit à Wagner, à la décadence du chant, « l’art du chant avait sombré » ? Ou est- ce l’effet d’une profonde dépression et de souffrances de santé, conséquences d’un travail acharné ? Ou celle de la révolution de 1830 qui lui fit perdre la protection de Charles X ?
Bel homme, sociable, séduisant, plein d’humour, il a enchaîné les succès féminins, épousé une des plus grandes cantatrices de son temps (Isabel Colbran) puis un modèle d’Horace Vernet, la Judith de son célèbre tableau (Louvre), Olympe Pélissier, qui restera auprès de lui jusqu’à sa mort. Né pauvre, il devint très riche et l’ami de grands banquiers. Il était aussi un impénitent gourmand et un épicurien fou de foie gras et de truffe, c’est pour lui que fut créé le tournedos Rossini ! Comblé d’honneurs, il fut admis à l’Académie des Beaux-Arts et reçut la grand-croix de la Légion d’honneur des mains de Napoléon III. « Un homme à envier » … (Stendhal).
Mort à Paris un vendredi 13 (novembre 1868), son corps embaumé sera exposé à la Madeleine et ses funérailles suivies par plus de 4000 personnes avant d’être enterrer au Père-Lachaise. Il légua sa fortune française à Olympe qui en fera don à la fondation Rossini, établissement de retraite pour artistes lyriques.
II La composition de la Cenerentola s’apparente à une course contre la montre. Quelques jours après la création du Barbier, Rossini contracte avec le Théâtre Valle de Rome, pour lui fournir un opéra pour la saison de carnaval de 1817. La censure ecclésiastique exercée sur le livret initialement choisi en octobre 1816 pousse Rossini et Jacopo Ferretti son librettiste à l’abandonner pour se tourner, deux jours avant Noël, vers l’histoire de Cendrillon. Si la tradition européenne de ce conte, populaire dans de nombreuses civilisations, a surtout retenu la version de Charles Perrault, ce n’est pas celle choisie ici. Devant l’urgence et dans l’esprit du temps, Ferretti s’inspire d’un autre livret, celui rédigé par Charles Guillaume Etienne pour Cendrillon, une œuvre lyrique de Nicolas Isouard. Cela lui a permis de rééquilibrer la distribution pour obtenir un ensemble vocal presque symétrique, quatre voix d’hommes et trois voix de femmes à la place d’un nombreux personnel féminin, les trois sœurs, la marâtre et la fée-marraine. Le lendemain de Noël, les principaux airs étaient rédigés, le dramaturge témoignant avoir écrit ses vers en vingt-deux jours et Rossini la musique en vingt- quatre !
La Cenerentola o la bonta in trionfo (Cendrillon ou le triomphe de la bonté) est entièrement construite autour de la personnalité d’Angelina, héroïne qui réussit par sa vertu. C’est avec une vision de la femme typique de l’esthétique sentimentale et larmoyante de la fin du XVIIIè siècle que Rossini renoue ici replongeant ainsi dans la veine sentimentale de ses premières farces.
Par rapport à la version de Charles Perrault que Jules Massenet illustrera dans sa Cendrillon, Ferretti et Rossini ont pris en compte les changements significatifs opérés dans le livret dont ils se sont inspirés :
- un parâtre au lieu d’une marâtre : c’est ici la mère qui s’est remariée et est décédée après la naissance des deux autres filles
- fin de la Magie, vive la Raison : ce n’est plus une fée-marraine mais un précepteur du prince qui, dans la lignée du siècle des Lumières, devient l’agent de la métamorphose d’une souillon en princesse ; la magie disparaissant au profit de la raison, il n’y a donc plus de carrosse, de citrouille, d’oiseaux et autres petits animaux qui se transforment pour la circonstance ; le pardon final reflète également une des préoccupations des Lumières, comme dans L’Enlèvement au sérail de Mozart.
- le prince est accompagné d’un valet, son double comique, avec qui il échange ses habits comme dans Marivaux : le prince veut être aimé pour lui-même et non pour son statut (comme Lohengrin…)
- il n’y a plus de « permission de minuit » donnée par un tiers, c’est Cendrillon qui décide de rentrer et qui impose à Don Ramiro de venir la retrouver dans son état naturel, pour ce qu’elle est et non pour ce qu’elle paraît, miroir des motivations du prince en s’habillant en valet
- la pantoufle disparaît au profit du bracelet, sans doute pour ne pas effaroucher la censure romaine, et c’est le Prince lui-même et non un gentilhomme de sa cour qui la retrouvera, ce qui est l’idée de notre Cendrillon que le prince la voit dans son environnement.
III Musicalement, La Cenerentola est un drama giocoso, une forme en demi-teinte qui ne privilégie pas un style par rapport à un autre mais établit un pont entre l’opera buffa, qui se situe dans la lignée de la commedia dell’ arte, et l’opera seria, et le tragique qui lui est propre, avec son sujet empli de pathétisme mais dont l’issue se veut heureuse, le lieto fine.
L’écriture vocale est fondée sur la vitesse, la vitalité et la virtuosité combinant l’expression mélodique de la tradition italienne du bel canto et la richesse orchestrale d’inspiration germanique, un des apports majeurs de Rossini, le Tedeschino. Rapprochant étroitement opera seria et opera buffa, Rossini n’hésite pas à faire passer la vocalité profuse et virtuose du premier dans le second « chez lui, la mélodie naissait ornementée et fleurie, et la vocalise était partie intégrante de l’expression et non pas un surajout » (Rodolfo Celletti, Histoire du bel canto).
Le chant orné de Ramiro et de Cenerentola traduit le sentiment amoureux qui naît de leur première rencontre, la musique illustrant la grande timidité et l’immense hardiesse de cet amour. La vocalité rossinienne triomphe aussi dans l’expression de l’amour déclaré et du bonheur sans ombre. Le style de la scène finale rappelle enfin comment la destinée de Cenerentola l’a changée : de la chanson populaire de la bonne à tout faire du premier acte on passe au style orné des héroïnes de l’opera seria d’une princesse.
Propre au style bouffe, le parlato est réservé aux parties de basse bouffe : la voix débite le texte sur la même note et c’est l’orchestre qui prend en charge la mélodie et assure les valeurs proprement musicales.
Enfin, plus qu’un opéra d’airs, Cenerentola est un opéra d’ensembles : du duo au sextuor, c’est à chaque fois un feu d’artifice animé par de fulgurants et irrésistibles crescendos (quintette de l’arrivée de la femme inconnue ; septuor de la fin de l’acte I ; sextuor de l’acte II) où se superposent les vocalises et l’exploitation musicale de la sonorité des mots.
La Cenerentola a été créé le 25 janvier 1817 au Teatro Valle de Rome. Si la première représentation fut houleuse, les chanteurs étant s’en doute épuisés des répétitions de dernière minute, un des airs, terminé dans la nuit, aurait été répété pendant l’entracte, Rossini ne se laissa pas démonter : « Avant la fin du Carnaval, tous les Romains seront amoureux de ma Cendrillon ; avant la fin de l’année, elle sera admirée dans toute l’Italie ; en France et en Angleterre dans deux ans ». Ce fut en effet un triomphe partout, participant activement à la création du répertoire lyrique, les plus grandes gloires du chant romantique tant masculines que féminines s’y illustrant.
Argument
Acte I
Dans le château délabré de Don Magnifico, ses deux filles, Clorinda et Tisbe se querellent et se moquent de leur demi-sœur Angelina qui s’active autour de l’âtre en chantant la comptine d’un roi qui a choisi pour épouse une fille bonne et innocente « Una volta c’era un rè – il était une fois un roi ».
Arrive un mendiant. Les deux méchantes sœurs veulent le chasser, Cendrillon lui donne discrètement une tasse de café et un morceau de pain. Il s’agit en fait d’Alidoro, le précepteur du prince Don Ramiro. Sa suite fait irruption pour annoncer la venue du prince invitant toutes les jeunes filles à un bal au palais. Les sœurs ne se sentent plus de joie et réclament les services de Cendrillon pour se faire belles.
Réveillé d’un beau rêve par tout ce bruit, Don Magnifico, en partage la signification pour lui si limpide : l’âne ailé qui se pose sur un clocher où toutes les cloches se mettent à sonner, c’est lui, et ses deux ailes se sont ses deux filles qui deviendront reines (Miei rampolli femminini ! - Mes enfants, ma progéniture femelle).
Don Ramiro arrive alors, déguisé en laquais (Tutto è deserto – Tout est désert), Cendrillon en fait tomber tasse et soucoupe. Le coup de foudre est réciproque (duo Un suave non so che- Il y a un je-ne-sais-quoi de doux). Réclamée à grands cris par ses sœurs, Cendrillon s’enfuit laissant le valet annoncer l’arrivée du faux prince, Dandini son valet déguisé, parodiant le chant noble dans une cavatine hilarante (Come un’ape ne’giorni d’aprile- Comme une abeille aux beaux jours d’avril) devant un auditoire subjugué et empreint de servilité. Louant la beauté de Clorinda et Tisbe, il lance l’invitation générale au bal.
Cendrillon supplie Don Magnifico de l’autoriser à s’y rendre également (quintette Signor una parola –Monsieur, juste un mot). Non seulement il refuse mais est prêt à la battre. Alidoro, lisant un registre sur un ton de notaire (Qui nel mio codice delle zitelle – Mon répertoire de filles à marier), réclame cependant « la troisième fille » : Don Magnifico la déclare morte !
Cendrillon s’enfuie dans sa chambre rejointe par Alidoro qui lui révèle son identité, lui offre une superbe robe et lui prête son carrosse (Là del ciel nell’arcano profondo- Là-haut dans les profondeurs mystérieuses du ciel). Ainsi parée, elle peut aller au bal.
Au palais princier, Dandini convie Don Magnifico à visiter les caves à vins et promet de le nommer sommelier s’il tient encore debout à la trentième dégustation ! Impressionnés par ses prouesses, Les Gentilhommes de la cour lui font fête (conciossiasacché- Par ces motifs qu’il a goûté) ; il fanfaronne, dictant le texte d’un décret alcoolique et pompeux (Noi, Don Magnifico- Nous, Don Magnifico). Pendant ce temps, sur les conseils paternels, Clorinda et Tisbe se disputaient les faveurs du faux-prince (Principino, dove siete -Mon doux prince où êtes-vous ?), prêt pour sa part à en épouser une à condition que l’autre accepte d’épouser le valet. Refus indigné ! En aparté, Dandini avait déjà fait part à Don Ramiro de son impression sur les deux sœurs : un rare mélange d’insolence, de caprice et de vanité.
Au son d’une fanfare, Alidoro annonce une dame mystérieuse richement vêtue qui fait une grande entrée digne d’une reine d’opera seria (Sprezzo quei don che versa fortuna capricciosa– Je dédaigne les dons que dispense la fortune capricieuse). Quand elle se dévoile, tout le monde est frappé par sa ressemblance avec Cendrillon (Mi par d’essere sognando- J’ai l’impression d’être en train de rêver).
Acte II
Don Magnifico pense toujours qu’une de ses filles chéries épousera le prince (Sia qualunque delle figlie – Quelle que soit celle de mes filles). Poursuivie par Dandini, Cendrillon le repousse car elle n’aime que son « valet ». Ne voulant pas qu’il soit trompé par sa riche apparence, elle se refuse à lui et lui donne un bracelet : s’il veut la revoir qu’il la retrouve avec son bracelet identique et si elle ne lui déplaît pas, elle sera à lui. Elle s’éclipse laissant Don Ramiro au comble de la joie, jurant de partir à sa recherche dans un air de bravoure truffé de contre-ut (Si, ritrovarla io giuro- Oui, je jure de la retrouver).
Dandini prépare Don Magnifico à entendre un secret. Celui-ci croit qu’il va enfin entendre la réponse tant attendue : laquelle des deux filles veut-il épouser ? Dandini lui avoue alors la supercherie : il n’est qu’un valet ! (duo comique Un segreto d’importanza – Un secret d’importance). Don Magnifico est furieux.
Au domicile familial, Cendrillon chante toujours sa chanson triste. Père et sœurs rentrent humiliés. Un orage éclate qui renverse alors le carrosse de Don Ramiro qui passait par là. Il demande l’hospitalité à Don Magnifico et reconnaît immédiatement le bracelet au bras de Cendrillon (sextuor de la reconnaissance Siete voi ? C’est vous ? - Questo è un nodo avviluppato – C’est un écheveau enchevêtré). Sa demande en mariage suscite colère et fureur chez le beau-père et les demi-sœurs (Quello brontola e barbotta – L’un grogne et l’autre bougonne).
Au palais princier, on fête le mariage des deux amoureux (Signor, perdona – Seigneur, pardonne-moi). Alors que le prince veut punir Don Magnifico et les méchantes sœurs, Cendrillon l’en dissuade : la meilleure vengeance est le pardon (Rondo Nacqui all’affanno, al pianto- je suis née dans le malheur et dans les larmes).
Les personnages principaux et leurs voix
- Angelina, « la Cenerentola » : belle-fille de Don Magnifico, le deuxième mari de sa mère ; demi-sœur de Clorinda et Tisbe ; un des premiers personnages romantiques de l’histoire de l’opéra ; une partie vocale qui évolue avec son statut social, de la romance populaire au bel canto d’opera seria (contralto- mezzo colorature)
- Don Ramiro : prince de Salerno, il utilise le style serio, avec des aigus pleins de panache (ténor)
- Dandini : son valet, valet débrouillard qui se fait à l’occasion passer pour le prince, il s’exprime selon le cas en mode buffo ou en parodie de mode serio (basse).
- Alidoro : philosophe, précepteur de Don Ramiro (basse avec des aigus de baryton)
- Don Magnifico : baron de Monte Fiascone, père de Clorinda et Tisbe, deuxième mari de la mère de Cendrillon, impécunieux ; typique basse bouffe pouvant s’exprimer avec une grande célérité (le fameux sillabando rossinien) (basse).
- Tisbe et Clorinda : filles de Don Magnifico, demi-sœurs (même mère) de la Cenerentola ; purement farcesques (sopranos)
Discographie sélective
- Riccardo Chailly (dir) : Cecilia Bartoli (Cenerentola), William Matteuzzi (Don Ramiro), Enzo Dara (Don Magnifico), Michele Pertusi (Alidoro), Alessandro Corbelli (Dandini)- Teatro Communale de Bologne - 1993 – Decca- La Cenerentola du centenaire de Rossini, une Bartoli extraordinaire, Pertusi magistral, direction souple, le texte complet- la référence
- Gabriele Ferro (dir) : Lucia Valentini-Terrani (Cenerentola), Francisco Araiza (Don Ramiro), Enzo Dara (Don Magnifico), Alessandro Corbelli (Alidoro), Domenico Trimarchi (Dandini)- Capella Coloniensis- studio - 1980 – Sony Version plus « seria » que la précédente, une Angelina somptueuse
Vidéographie
- Patrick Summers (dir), Joan Font (mes): Joyce DiDonato (Cenerentola), Juan Diego Florez (Don Ramiro), Bruno De Simone (Don Magnifico), Simon Orfila (Alidoro), David Menendez (Dandini), Itxaro Mentxaca (Tisbe), Cristina Obregon (Clorinda)- Gran teatre del Liceo Barcelone - 2009 – Decca- une distribution au sommet (DiDonato/Florez)
- Claudio Abbado (dir), Jean-Pierre Ponnelle(mes): Frederica von Stade (Cenerentola), Francisco Araiza(Don Ramiro), Paolo Montarsolo (Don Magnifico), Paul Plishka (Alidoro), Claudio Desderi (Dandini), Laura Zannini (Tisbe), Margherita Guglielmi (Clorinda)-Orchestre et chœurs du teatro alla Scala-Milan - film de studio - 1981 – Unitel-DGG- Un classique du film d’opéra, à voir absolument.
- Donato Renzetti (dir), John Cox (mes): Kathleen Kuhlmann (Cenerentola), Laurence Dale (Don Ramiro), Claudio Desderi (Don Magnifico), Roderick Kennedy (Alidoro), Alberto Rinaldi (Dandini), Laura Zannini (Tisbe), Marta Taddei (Clorinda)-London Philharmonic-Chœurs de Glyndebourne - 1983 – NVC Arts- Une belle mise en scène qui n’a pas pris une ride.
Bibliographie sélective
- La Cenerentola Avant-Scène Opéra n°253 : livret, guide d’écoute et article permettant d’éclairer l’œuvre en la mettant dans son contexte.
- Chantal Cazaux : Rossini, mode d’emploi, L’Avant-scène Opéra / Premières loges 2020 : Une bonne introduction synthétique à l’homme et à son œuvre.
- Jean et Jean-Philippe Thiellay : Rossini, Actes Sud 2019 : une bonne biographie dans un petit format
- Damien Colas : Rossini : l’opéra de lumière, Gallimard Découvertes 1992 : idéal pour aborder Rossini, nombreuses illustrations, plaisant et riche
- Stendhal : Vie de Rossini, Folio 1992 : pour l’auteur autant que pour le sujet, une analyse fine
- Rodolfo Celletti : Histoire du bel canto, Les chemins de la musique Fayard, 1995 : plus technique mais remarquable sur l’opéra baroque et Rossini.
Jean-François Bourdeaux
Club Opéra
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