50 ans : le nouvel âge d’or ?
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Après 50 ans, les interrogations autour du sens et de la pérennité de sa carrière deviennent plus importantes. Certains salariés s’interrogent sur leur motivation et leur adhésion ou non aux valeurs de l’entreprise. Ils nourrissent un besoin de plus d’autonomie et aspirent à de nouveaux challenges professionnels, d’autres font les frais d’une réorganisation ou d’une restructuration économique.
Quelles sont les options qui se présentent alors ?
Plutôt que de subir, reprendre la main est nécessaire et de nombreuses voies passionnantes et différentes existent.
Évoluant dans un monde qui va de plus en plus vite, les entreprises ont plus que jamais besoin de compétences de haut niveau, sur tous les types de fonctions.
Contrairement à certaines idées reçues, les profils dits seniors constituent un atout indéniable. Ils ont appris à prendre du recul, à hiérarchiser les priorités et à gérer le stress inhérent à leur fonction. Ils ont managé des équipes dans des organisations complexes à l’International, ils connaissent et maîtrisent les jeux de pouvoir et d’influence pour gérer les projets.
De belles opportunités de CDI existent bel et bien, passé la cinquantaine. Et pour plus de souplesse et de flexibilité, les entreprises font également appel à des talents externes pour les accompagner.
De nouveaux modes de collaboration se développent avec de nombreux cadres supérieurs et dirigeants qui cherchent de plus en plus à travailler autrement et qui peuvent intéresser start-up, PME et ETI. Ils choisissent le management de transition, le conseil ou le temps partagé/slashing.
Pour en témoigner nous recevrons :
- Hugues Courthieu (D 1989), Consultant
- Anne Etienne (D 1983), Directrice financière à temps partagé
- Stéphane Mellinger, Directeur général de NIM, cabinet de management de transition
- Axel de Schietere (D 2001), Partner chez Heidrick & Struggles
Le débat sera animé par Valérie Desclerc (D 1988), Associate Partner / Senior Executive Coach chez Dirigeants & Partenaires.