| Le dernier numéro d’Émile vient tout juste d'être mis sous presse. En attendant de le recevoir dans votre boîte aux lettres, découvrez un aperçu des sujets traités et consultez, dès maintenant, certains articles en avant-première. Le dialogue entre les générations est mis à l'honneur dans ce numéro 13. Nous avons constitué trois duos parent-enfant, passés par Sciences Po : la journaliste Léa Salamé et son père, Ghassan, ancien professeur de relations internationales rue Saint-Guillaume ; l'écrivain Frédéric Beigbeder et son père, Jean-Michel, chasseur de têtes reconnu ; l'homme de médias Nicolas Beytout et sa fille, Philippine, avocate pénaliste. Tous nous parlent de leur histoire familiale, de leur héritage, de leurs métiers respectifs, du regard qu'ils portent sur la société et la politique... Dans un grand dossier sur l'héritage de Mai 68, nous avons également croisé deux autres générations : celle d'Emmanuel Macron et celle des Soixante-huitards. |
| |
| ACTUALITES - EntretienLe ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer, a annoncé cette année, une grande réforme de l’épreuve, qui sera mise en œuvre en 2021. L’homme derrière cette réforme est Pierre Mathiot, professeur de science politique, ancien directeur de Sciences Po Lille et même un temps candidat, en 2013, à la tête de Sciences Po Paris. Homme de gauche connu pour son franc-parler, ce proche de Jean-Michel Blanquer nous parle de ses propositions, et ce faisant, nous livre ses constats sur l’état de l’école et de l’université. Un diagnostic sans concessions, loin de toute ambition politique. Puisqu’il nous le dit dès le début de l’entretien : « Je suis un type plutôt libre, qui dit ce qu’il pense. » Lire l'entretien |
|
Avec Léa et Ghassan Salamé, Philippine et Nicolas Beytout, Frédéric et Jean-Michel Beigbeder, Émile a choisi de croiser les générations, en constituant deux duos père-fille et un duo père-fils. L’idée, avec de tels échanges, est de faire dialoguer deux regards sur la société : deux membres d’une même famille, passés par la même école, Sciences Po, partageant une histoire, un héritage commun, tout en cherchant à s’en émanciper...Découvrez, en avant-première, l'entretien de Léa et Ghassan Salamé, qui reviennent sur les années passées au Liban en pleine guerre civile, l’arrivée et l’accueil en France, l’éducation, les années Sciences Po, sans oublier l’actualité brûlante. |
|
|
Les jeux de l'étéVous pensiez être incollable sur la Ve République (qui fête cette année son soixantième anniversaire), tout savoir sur Sciences Po et être un lecteur assidu d'Émile ? C’est le moment de vous en assurer... Pour démarrer l'été en beauté, nous vous proposons trois quiz, ainsi qu'une grille de mots croisés, afin de tester vos connaissances. À vous de jouer ! Jouer aux quiz | |
|
Marie Georges a lancé sa première entreprise à sa sortie de Sciences Po, en 2005. À l’époque « peu de personnes le faisaient », dit-elle, « encore moins les femmes ». Aujourd’hui, l’entrepreneuriat made in rue Saint-Guillaume est plus dynamique, mais reste encore trop souvent l’apanage des hommes, reflétant ainsi une tendance dont notre société a du mal à se défaire. Ce phénomène sera au cœur des préoccupations de la nouvelle chaire pour l’Entrepreneuriat des femmes, lancée le 11 avril dernier à Sciences Po, avec, à sa tête, la chercheuse Anne Boring, spécialiste de l’économie du genre. Émile a organisé un dialogue entre ces deux femmes, qui partagent avec nous leur engagement et leur analyse de la situation de l’entrepreneuriat des femmes en France.
|
|
Commentaires0
Veuillez vous connecter pour lire ou ajouter un commentaire
Articles suggérés